Sunday, January 7, 2024

Datura 15 | 01_24

 

Datura issue 15 January 2024 is now live

You can read it here https://www.calameo.com/read/00002815162081e090755

Contents | Sommaire
Cover illustration | Illustration de couverture: Norman J. Olson
Unless stated otherwise, all inside illustrations are by Norman J. Olson – Sauf indications contraires, toutes les illustrations dans ce numéro sont signées Norman J. Olson

    • Docteur Burz, editorial
    • Léonel Houssam, Opioïde, mon amour, prose
    • Colin James, four poems: “This Evening Will Find Itself Remembering”, “Flora You Are Much More Beautiful in Person”, “The Unrescued Having Confirmed Their Slipshod Extension”, and “Hologram Night-Shift the Caves, Devon”, poetry
    • Joshie Lint, two poems: “Stinkin’ Jeans of Swift Strong Liquor” and “She Had a Face Tatoo”, poetry
    • DC Diamondopolous, “1912”, fiction
    • Odile Mori, “Bone”, fiction
    • Diana Raab, “Shaped by Our Childhoods”, creative non-fiction essay
    • John Grey, “Please Live Up to Your Memory”, poetry
    • John Tustin, two poem: “Dead Fawn in the Water” and “The Enormous Sadness”
    • Dominik Slusarczyk, two poems "Unmasked Land" and "Forget", poetry
    • Jan Bardeau, extrait de Là-bas, après et même plus loin, fiction, paru aux éditions Urtica en décembre 2023


Friday, December 29, 2023

Le cerveau disparu (histoire écrite par chatGPT - retravaillée)


 

 Il était une fois, dans une petite ville pittoresque de France, un homme du nom de Jacques. Jacques était un homme ordinaire qui menait une vie tranquille en tant que bibliothécaire. Un jour, alors qu'il se rendait à son travail, quelque chose d'extraordinaire se produisit.

En traversant un parking désert, Jacques remarqua un objet étrange par terre. En s'approchant, il réalisa avec stupeur que c'était son propre cerveau. Oui, son cerveau était posé là, soigneusement enveloppé dans ce qui semblait être une substance transparente.

Jacques était médusé. Comment son cerveau avait-il atterri dans un parking? C'était une question qui dépassait l'entendement. Tout en gardant son calme, il prit délicatement son cerveau et le plaça précautionneusement dans un panier à provisions qu'il avait emprunté au supermarché voisin.

Intrigué et déterminé à résoudre le mystère, Jacques se lança dans une quête pour découvrir comment son cerveau avait pu se séparer de lui. Il commença par revisiter les événements de la veille, se demandant s'il avait été victime d'une expérience étrange ou s'il était entré en contact avec quelque chose de surnaturel.

Au fil de son enquête, Jacques fit la connaissance d’un personnage singulier : un scientifique excentrique qui l’avait diagnostiqué pervers narcissique.

Finalement, après avoir repris possession de son cerveau. Il découvrit que cette expérience extraordinaire n’avait sans doute rien changé en lui, tant il était atteint.

De retour à sa vie quotidienne de bibliothécaire, Jacques partagea rarement son incroyable aventure. La honte ! Cependant, il savait désormais que parfois, pour trouver les réponses les plus profondes, il fallait se plonger au plus profond de soi-même; après tout, les autres ne comptaient pas, leurs émotions ne valaient rien, même si cela signifiait retrouver son cerveau dans un parking.

Tuesday, December 26, 2023

Dennis Greig

Photograph of Dennis Greig from lapwingpublications.com


 Dennis Greig passed away yesterday. He is the founder, along with his wife Rene, of Lapwing Publications in Belfast, Northern Ireland. He gave me the opportunity to publish my first chapbook in English in 2013. My most sincere condolences to his family and close friends.



Nouvelle parution aux éditions Urtica


Disponible sur demande à l'adresse urticalitblog at gmail point com éditeur Walter Ruhlmann

12€ (frais de port compris) Paiement par Paypal, chèque ou virement bancaire.

92  pages - format A5 - ISBN: 9781446669273


Brune Jaada se réveilla dans une sorte de sarcophage molletonné, elle leva la tête, se redressa sur un  coude, contempla l’endroit : ruines d’une cité en ruine, ruines et ruines, inutile donc de les décrire, une  ruine reste une ruine. Brune se hissa hors  du vaisseau où elle avait reposé. Quelque chose en elle  clochait, sans qu’elle parvînt à établir quoi. Elle se sentait gourde, maladroite, comme  gênée par son  propre corps.



Laissez-vous emporter dans une odyssée surréaliste, parée de science-fiction. Suivez les aventures de  Brune Jaada, le caporal Halle, Oscar, Beau Janard... dans  les méandres post-apocalyptiques d'un territoire, que vous reconnaîtrez peut-être, administré par les SOFIA.


A son habitude, Jan Bardeau, de sa plume experte, fine, délicieusement ironique, nous entraîne dans les  dédales d'une histoire fascinante autant que terrifiante parfois.

Saturday, October 21, 2023

Nouvelle parution aux éditions Urtica

 

RIEN… en substance, rien

Essai sur l’incondition substantielle du presque vide ou 24h d’un sourd de la vie.

de Necro Mongers

Illustré par Pascal Dandois - Couverture par La Fausse Patte

L’homme est une espèce en voie de disparition. Il se pourrait même que ses ossements se visitent un jour sur les réseaux ! Il n’y a plus une minute à perdre ! Saisissez vos tablettes et vos engins modernes pour relayer la SEULE information que le monde attendait : l’homme seul n’est plus seul !Il est d’autant plus possible, selon des sources sûres arrivées dans la nuit, qu’il essaye désormais d’utiliser la conscience pour avancer dans la vie. C’est un terrain peu fiable et voué à un chemin friable qui s’entrouvre à lui.Il lui reste aussi peu de mémoire qu’un éléphant peut avaler d’eau, mais il saura sûrement déjouer les plans diaboliques de la vie dans son souterrain du bocal infernal. Suivez le seul homme qui risque de comprendre qu’il vit au milieu d’autres durant 24 heures de sa courte existence sans l’avoir voulu ! Vivez avec un dévolu désincarné, l’aventure simiesque d’un enragé de la merde en bâton doublé d’un sourd de la vie. Un gars qui dit, qu’y est, mais qui veut pas !Soyez les premiers à séjourner officiellement dans l’antre de l’absence d’une vie repérée, au milieu de la raison de ne pas être, du meilleur animal de compagnie que l’homme ait enfanté… lui-même un jour de temps maussade.

80 pages A5

12€ (frais de port inclus)

ISBN: 978-1-4467-6158-8

Pour commander, envoyer un mail à Urtica (urticalitblog à gmail point com).

 


Wednesday, August 18, 2021

Le tête-à-queue de la jeunesse posthume de Patrice Maltaverne aux éditions Le citon gare

 


Je l'attendais ce recueil. Je l'attendais depuis longtemps.

Bien sûr, je ne suis pas plus fan d'anthologies que ça, mais là, il s'agit de la poésie de Patrice Maltaverne. Il a décidé de regrouper cinquante de ses poèmes dans un livre publié au Citron gare, et retrouver, et pour beaucoup découvrir, les poèmes de Patrice est un délice.

Il faut bien sûr s'attendre à un peu de noirceur, le titre annonce la couleur. La quatrième de couverture aussi, avec cet extrait:

"soignez mes blessures d'immédiat

c'est si beau de reprendre

une séance de baffes

quand tout autour de soi est si propre

comme un jardin d'hiver"

 

Cinquante poèmes sélectionnés à l'occasion de ses cinquante ans, cela pourrait paraître présomptueux, limite mégalo, mais il s'agit de Patrice Maltaverne, c'est donc impossible. Et quand bien même, self-indulgence, l'art de se faire plaisir, n'est pas interdit. C'est même grandement recommandé lorsqu'il s'agit de lire, page après page, des poèmes qui invitent à la réflexion, qui font le tour d'un monde, celui de l'auteur bien sûr, mais en toute pudeur et qui engagent le lecteur se presser le citron aussi, en douceur, en reflet, en filigrane.

D'ailleurs, la plupart de ces poèmes ont déjà été publiés par d'autres personnes qui sont autant de passeurs de poésie à travers leurs revues (papier ou Internet), dont la plupart ont hélas déjà disparu.

Il y a de la peur, de la noirceur comme dit précédemment, mais c'est aussi cela qui démarque Patrice Maltaverne des "poètes sans vague [qui] fleurissent en deux mille et quelques". Il y a de l'ironie aussi, toujours ces sourires entre deux lignes qui sont propres à la poésie de Patrice.

Je vous invite grandement à vous procurer et lire ce recueil de cinquante poèmes, vous allez le dévorer.

Le tête-à-queue de la jeunesse posthume de Patrice Maltaverne aux éditions Le Citon gare -

82 pages - 10 €. Attrapez-le ici

Monday, April 5, 2021

Le foutoir


 

L'amour est illusion, et même la luxure est dépouillée de son charme romantique et érotique. A l'intérieur, caché de l'amant, vit le loup, incarnation de l'appétit, aussi dangereux qu'énergique et sauvage. Ces poèmes se mettent à nu, rejetant les faux conforts d'une connexion facile et joyeuse. Les souvenirs n'offrent aucun confort. Plutôt, ils ramènent de vieux amants, dont certains oubliés depuis vingt ans, avec des images suggérant des choses sales, impures, ou même des tourments.

10€ - Urtica  - commandez ici ou directement auprès de l'éditeur.


Lire un avis sur le blog de Patrice Maltaverne Poésie chronique ta malle